Fishery in the Middle Ages was an activity done in the lagoon as in the rivers, but in different way: fishery done in the rivers was only one of many rights to use public waters. It was an accessory right, at least until the end of the thirteenth century. On the contrary, fishery done in the lagoon was one of the most profitable way to exploiting uncultivated paludal areas. So this activity was increasingly monopolized by the individuals, monastiers and especially from the municipality of Venice. In fact the regulation of the areas where it was possible to fish became a way state urban autohority. The relationship between exploitation of the uncultivated areas and the diffusion of public power is clear in attempts of Venice to control the “Terraferma”, the lands far from the see. At the begining of the eleventh century dukes coming from Venice stipulated agreements with communities living along the cost. These agreements gave him rights to hunt wild boars and to raise pigs. But German emperors opposed to these agreements. They prevented dukes to exercise these rights, and relegated the power of ducs to the islands of the lagoon for several centuries. At the end of the thirteen centuries, Venice attempted to expand its influence to some coastal forsets of Treviso. But only the conquest of the territory of Treviso - made by Venice in the middle of the fourteenth century - put an end to the problem. La pêche était une activité pratiqué au Moyen Age soi dans la lagune, soi sur les fleuves, mais d’une façon différente : la pêche fluviale était seulement un des nombreux droits d’utilisation des eaux publiques, un droit accessoire, au moins jusqu’à la fin du XIIIe siècle. Dans la lagune, au contraire, la pêche était une des plus rentable possibilité d’utilisation de l’inculte marécageux ; donc cette activité fut de plus en plus monopolisée par les particuliers, les monastères et surtout par la commune de Venise, en tant que le règlement des espaces de pêche devint un moyen d’affirmation du pouvoir urbain. La relation entre exploitation de l’inculte et pouvoir publique est évidente dans les tentatives de Venise de s’imposer sur l’arrière pays, la « Terraferma ». Au debout du XIe siècle les ducs vénitiens avaient stipulé des pactes avec les communautés de la côte, pactes qui accordaient au ducs le droit de chasse au sanglier et d’élevage des cochons. Mais les empereurs allemands s’opposèrent, en empêchant le duc dans l’exercice de ces droits et en le relégant exclusivement dans les iles de la lagune pendant plusieurs siècles. A la fin du XIIIe siècle Venise essaie d’étendre sa influence sur certains bois côtiers de Trévise, mais seulement la conquête territoriale vénitienne du territoire trévisan, à la moitié du XIVe siècle, conclura la question.
L’EXPLOITATION DES ZONES HUMIDES DANS LA PLAINE DU VENETO ET DANS LA LAGUNE DE VENISE AU MOYEN AGE (XIIe-XIVe SIÈCLES) : ARBITRAGES ET CONFLITS
CANZIAN, DARIO
2011
Abstract
Fishery in the Middle Ages was an activity done in the lagoon as in the rivers, but in different way: fishery done in the rivers was only one of many rights to use public waters. It was an accessory right, at least until the end of the thirteenth century. On the contrary, fishery done in the lagoon was one of the most profitable way to exploiting uncultivated paludal areas. So this activity was increasingly monopolized by the individuals, monastiers and especially from the municipality of Venice. In fact the regulation of the areas where it was possible to fish became a way state urban autohority. The relationship between exploitation of the uncultivated areas and the diffusion of public power is clear in attempts of Venice to control the “Terraferma”, the lands far from the see. At the begining of the eleventh century dukes coming from Venice stipulated agreements with communities living along the cost. These agreements gave him rights to hunt wild boars and to raise pigs. But German emperors opposed to these agreements. They prevented dukes to exercise these rights, and relegated the power of ducs to the islands of the lagoon for several centuries. At the end of the thirteen centuries, Venice attempted to expand its influence to some coastal forsets of Treviso. But only the conquest of the territory of Treviso - made by Venice in the middle of the fourteenth century - put an end to the problem. La pêche était une activité pratiqué au Moyen Age soi dans la lagune, soi sur les fleuves, mais d’une façon différente : la pêche fluviale était seulement un des nombreux droits d’utilisation des eaux publiques, un droit accessoire, au moins jusqu’à la fin du XIIIe siècle. Dans la lagune, au contraire, la pêche était une des plus rentable possibilité d’utilisation de l’inculte marécageux ; donc cette activité fut de plus en plus monopolisée par les particuliers, les monastères et surtout par la commune de Venise, en tant que le règlement des espaces de pêche devint un moyen d’affirmation du pouvoir urbain. La relation entre exploitation de l’inculte et pouvoir publique est évidente dans les tentatives de Venise de s’imposer sur l’arrière pays, la « Terraferma ». Au debout du XIe siècle les ducs vénitiens avaient stipulé des pactes avec les communautés de la côte, pactes qui accordaient au ducs le droit de chasse au sanglier et d’élevage des cochons. Mais les empereurs allemands s’opposèrent, en empêchant le duc dans l’exercice de ces droits et en le relégant exclusivement dans les iles de la lagune pendant plusieurs siècles. A la fin du XIIIe siècle Venise essaie d’étendre sa influence sur certains bois côtiers de Trévise, mais seulement la conquête territoriale vénitienne du territoire trévisan, à la moitié du XIVe siècle, conclura la question.Pubblicazioni consigliate
I documenti in IRIS sono protetti da copyright e tutti i diritti sono riservati, salvo diversa indicazione.